23 juillet 2009
Dernière chronique ! tout l'monde descend !
J'ai affrété un tapis volant, une carpette du meilleur goût,
Pour nous transporter par-delà les mers et les déserts.
Remonter le temps et la géographie, toujours plus à l'ouest.
Je pars pour de longs mois en laissant Mao, hissez haut…
Une escale à Paris ; donner à la Seine
des nouvelles de la Shonghua qui se jette dans l'Amour puis dépérit.
J'ai affrété un tapis volant aux yeux perçants
Pour nous emporter par-delà les villes et les plaines.
Redescendre au sud sans perdre de l'altitude, longer l'océan.
Je pars pour de longs mois en oubliant Mao, hissez haut…
Je m'installe à Ondres ; retrouver les enfants, la famille,
les amis, les chats du voisin, le jardin à tondre.
J'ai affrété un paillasson, il dort devant ma porte,
Pour dire que la maison est revenue à la vie.
Se poser quelque temps, profiter du présent.
Je pars pour de longs mois, c'était qui Mao ? Hissez haut…
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