18 mai 2009
De nouveau à Pékin
Lundi . La route qui mène de l'aéroport à la ville est presque entièrement bordée de rosiers, rehaussés de massif d'iris.
Quand on arrive à Pékin, on sent encore plus fortement à quel point Harbin est un gigantesque "trifouillis les oies" sans âme, plus du tout russe et pas vraiment chinoise.
Nous rejoignons notre camp de base en salivant à l'idée du buffet qui nous y attend. Notre chambre n'est pas "non-fumeur" et comme aucune autre n'est disponible, nous sommes surclassés dans une suite. Génial ! Pour y passer la semaine, cela nous convient tout à fait.
Publicité
Commentaires